MICRAMAL
MICRoscope à lumière réfléchie pour des Analyses de MAcrorestes Ligneux
Responsabilité scientifique :
- Aline Garnier
- Agnès Gauthier
Axes méthodologiques :
Champs thématiques :
Secteurs disciplinaires :
Partenariat :
Financement :
- DIM PAMIR
- LGP
ID projet : IDF-DIM-PAMIR-2023-1-010
Descriptif :
Ce projet a pour objectif de compléter l’équipement de la plateforme de microscopie du laboratoire de Géographie Physique (LGP UMR 8591 CNRS) afin de développer et de renforcer les compétences analytiques sur l’identification du matériel végétal dans le cadre de recherches paléoenvironnementales et archéologiques. Aujourd’hui, le LGP est parfaitement équipé afin de procéder à l’extraction en laboratoire de micro-restes polliniques et phytolithiques et à leur analyse par microscopie à lumière transmise. Il dispose aussi de loupes binoculaires lui permettant d’étudier du matériel carpologique. En revanche, il n’est pas équipé de microscope adapté à l’étude de macrorestes végétaux tels que les charbons de bois qui nécessitent une observation par lumière réfléchie.
L’acquisition de ce nouveau matériel offre ainsi a possibilité au LGP d’étudier l’ensemble des restes végétaux (pollens, phytolithes, graines/fruits et charbons) tant modernes que fossiles. L’étude des charbons de bois permettra ainsi à la fois de contribuer aux recherches paléoenvironnementales déjà développées au sein du laboratoire et d’approfondir nos connaissances sur les interactions sociétés-milieux à différentes échelles spatio-temporelles mais aussi d’aborder de nouvelles questions de recherche. Cette compétence supplémentaire permettra aussi de répondre à une demande de plus en plus importante de collaborations afin de développer cet indicateur biologique dans le cadre de doctorat, de post-doctorat… et d’en initier de nouvelles.
L’acquisition de ce nouveau matériel offre ainsi a possibilité au LGP d’étudier l’ensemble des restes végétaux (pollens, phytolithes, graines/fruits et charbons) tant modernes que fossiles. L’étude des charbons de bois permettra ainsi à la fois de contribuer aux recherches paléoenvironnementales déjà développées au sein du laboratoire et d’approfondir nos connaissances sur les interactions sociétés-milieux à différentes échelles spatio-temporelles mais aussi d’aborder de nouvelles questions de recherche. Cette compétence supplémentaire permettra aussi de répondre à une demande de plus en plus importante de collaborations afin de développer cet indicateur biologique dans le cadre de doctorat, de post-doctorat… et d’en initier de nouvelles.