IMIX
Investigation minéralogique par Micro‐diffraction des rayons X
Responsabilité scientifique :
- Alexandra Courtin
Axes de recherche :
Altération et conservation
Analyses en toute sécurité
Fossiles et témoins de vie ancienne
Objets : provenance, chaînes opératoires, pratiques
Paléo-environnements et taphonomie
Analyses en toute sécurité
Fossiles et témoins de vie ancienne
Objets : provenance, chaînes opératoires, pratiques
Paléo-environnements et taphonomie
Partenariat :
- Laboratoire Interdisciplinaire sur l’Organisation Nanométrique et Supramoléculaire (CEA, CNRS)
Financement :
- DIM Matériaux anciens et patrimoniaux
- GEOPS
- CNRS INSU
- Université Paris-Saclay
ID projet : IDF-DIM-MAP-2020-4-001
Descriptif :
L’acquisition d’un diffractomètre de rayons X équipé d’un module de micro‐diffraction permettra de répondre de façon précise et adaptée aux exigences et attentes de plusieurs communautés scientifiques s’intéressant aux sciences de l’environnement, biologie, archéologie, géologie ou sciences humaines. Le diffractomètre de rayons X visé doit permettre de répondre à des problématiques fondamentales et appliquées telles que la compréhension des processus d’altérations et de préservation des matériaux patrimoniaux et au sein des différents compartiments de la zone critique (e.g., sols, sédiments), l’étude de bio‐minéraux et leur croissance, la compréhension des processus diagénétiques, la reconstruction de paléoenvironnements (e.g., état d’aridité des sols), ou encore l’étude des liens entre matières premières et objets archéologiques (e.g., sources et voies de commerce). L’instrument permettra de réaliser des analyses optimisées et reproductibles sur de grandes séries d’échantillons (passeur automatique) et sur des quantités de matériels très limitées (quelques mg à quelques centaines de μg) ou des zones d’objets spatialement contraintes de quelques dizaines de μm grâce au module de micro‐diffraction. L’acquisition de cet instrument s’inscrit en parfait complément des techniques de caractérisation minéralogique non‐destructrices dont dispose la plateforme PANOPLY (microscopies électronique et de force atomique, microspectroscopie FTIR, etc.) et en amont de techniques géochimiques plus spécifiques (par ex LA‐ICP‐MS‐HR).